Avant l’épidémie de Covid-19, la qualité de l’air était déjà un enjeu de santé publique. La propagation possible du virus Sars-Cov2 par aérosols n’a fait que renforcer cette prise en compte de la question, à titre individuel et professionnel. En complément des précautions d’usage, distanciation sociale et gestes barrières, un purificateur d’air professionnel est une mesure de prévention sanitaire supplémentaire dans un lieu clos comme un bureau collectif ou un open-space. A plusieurs conditions, rappelées à deux reprises par l’INRS, dont celle de disposer d’un appareil équipé au minimum de filtre HEPA H13 selon la norme EN 1822-1.

Depuis l’apparition du virus SARS-CoV-2, responsable de la maladie Covid-19, du premier au deuxième confinement, et de la première à la deuxième vague entre le printemps et l’automne 2020, les entreprises ont dû s’adapter, souvent dans l’urgence, pour maintenir leur activité. Tout du moins pour celles qui n’ont pas fait l’objet de fermetures administratives.

Plusieurs protocoles sanitaires ont été publiés par les autorités, au fil de l’évolution de la situation : le dernier est en date du 9 août 2021. Ces textes mettent d’abord en avant le télétravail, le port du masque et les gestes barrières, la distanciation physique… voire l’apport régulier d’air extérieur par aération naturelle. Mais l’installation complémentaire d’un purificateur d’air professionnel n’est pas non plus à négliger.

Quelles précautions prendre contre la transmission de la Covid-19 ?

Dans une première note, datée du 12 octobre 2020, l’Institut National de Recherche et de Sécurité (l’INRS est une association loi 1901 créée en 1947 qui travaille sur les problématiques liées à la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles) précisait plusieurs points liés aux « ventilation, chauffage, climatisation ».

Sous le titre « Quelles précautions prendre contre la Covid-19 ? », les rédacteurs de cette fiche de synthèse abordaient aussi le sujet des dispositifs annexes comme les ventilateurs ambiants et les épurateurs ou purificateurs d’air intérieur.

Ils écrivaient alors :

  • « Certains de ces dispositifs basés sur une filtration HEPA (High Efficiency Particulate Air Filter) peuvent diminuer la concentration des virus susceptibles d’être présents dans l’air ;
  • Les épurateurs d’air ne peuvent en aucun cas se substituer aux apports d’air extérieur et ne doivent être utilisés que comme compléments aux systèmes de ventilation ;
  • En cas d’utilisation d’un purificateur d’air intérieur, seuls les dispositifs équipés de filtres HEPA de classe minimale H13 selon la norme EN 1822-1 permettent d’arrêter efficacement les aérosols susceptibles de porter le virus, à condition d’un entretien régulier suivant les préconisations du fournisseur. »

Ils insistaient enfin sur l’importance de l’innocuité et la capacité des appareils à ne pas engendrer « des vitesses d’air trop élevées au niveau des personnes pour limiter la dispersion des gouttelettes ». Précaution prégnante quand il s’agit d’agir de façon préventive contre une potentielle propagation du virus par les aérosols, considérés comme une voie possible de transmission et contamination.

Le purificateur d’air EOLIS Air Manager en phase avec ces critères d’efficacité contre les coronavirus

Dans ce contexte, le purificateur d’air professionnel EOLIS Air Manager de NatéoSanté coche l’ensemble des cases quant à ses caractéristiques et performances. D’autant plus depuis la publication mi-novembre 2020, des résultats des tests en laboratoire, démontrant son efficacité à 99,6 % contre les coronavirus.

Purificateurs d'air professionnels pour entreprises
Eco-conçu, le purificateur d’air EOLIS Air Manager garantit l’innocuité

Le 19 novembre dernier, l’INRS a diffusé en ligne une deuxième note, mettant « en garde contre certains dispositifs dits anti-Covid-19 (…) et certaines innovations qui non seulement ne réduisent pas le risque de transmission du virus mais peuvent en engendrer de nouveaux ». L’Institut revenait sur la définition stricto sensu d’un purificateur d’air :

« Ces dispositifs aspirent l’air d’un local de travail et le rejettent dans ce même local après l’avoir traité par différents procédés. Basés sur une filtration HEPA, ils peuvent diminuer la concentration de virus susceptibles d’être présents dans l’air mais ne peuvent en aucun cas se substituer aux apports d’air extérieur définis par le code du travail. »

Il rappelait les remarques émises un mois plus tôt :

« Seuls les dispositifs équipés de filtres HEPA de classe minimale H13 selon la norme EN 1822-1 et installés de manière parfaitement étanche permettent d’arrêter efficacement les aérosols susceptibles de véhiculer le virus, à condition d’un entretien régulier suivant les préconisations du fournisseur.

Il est également nécessaire de s’assurer que ces purificateurs d’air intérieur sont adaptés au volume des locaux dans lesquels ils sont disposés et qu’ils n’entrainent pas des vitesses trop élevées pour limiter la dispersion des gouttelettes. »

Il était ajouté :

« Il est fortement déconseillé de choisir des appareils utilisant un traitement physico-chimique de l’air (catalyse, photocatalyse, plasma, ozonation, charbons actifs…). Non seulement leur efficacité vis-à-vis des virus n’est pas prouvée mais suite à une dégradation de polluants parfois incomplète, ils peuvent impacter négativement la qualité de l’air intérieur par la formation de composés potentiellement dangereux pour la santé, y compris des agents chimiques CMR. »

Schéma détaillé du bloc-filtres du purificateur d'air EOLIS Air Manager de NatéoSanté
Schéma de filtration d’un purificateur d’air professionnel EOLIS Air Manager avec filtre HEPA

NatéoSanté : expert et conseil en qualité de l’air

Ces recommandations confortent le positionnement d’EOLIS Air Manager. « L’étanchéité de notre purificateur d’air a été vérifiée en laboratoire ainsi que son innocuité, explique Anaïs Guyomarc’h, directrice des opérations et R&D au sein de NatéoSanté.

Tous nos blocs de filtres sont certifiés et testés individuellement pour en garantir l’efficacité. Enfin, nos débits d’air sont optimisés. Quant à la photocatalyse et le charbon actif, ils sont utiles sur d’autres polluants et rendent EOLIS Air Manager polyvalent et efficace sur l’ensemble des polluants de l’air intérieur, au-delà de la seule Covid-19. »

« La qualité de l’air est devenue un enjeu de santé publique », rappelait fin novembre le zoom de la rédaction de France Inter alors intitulé « Purificateurs d’air : quel rôle dans la lutte anti-Covid-19 ? ». L’article revenait sur la prise en compte croissante de ce facteur au sein des organisations : « L’employeur, parce qu’il est responsable de la santé de ses salariés, est de plus en plus enclin à s’interroger sur cette question de purification de l’air. »

En ce domaine, NatéoSanté qui s’appuie sur une longue expérience est en mesure d’accompagner les commerces, les entreprises, les lieux de co-working, les professionnels de santé… pour un diagnostic précis de l’environnement à traiter, émettre des recommandations et apporter un service personnalisé.

Au-delà de l’installation d’un ou plusieurs purificateurs d’air, l’objectif poursuivi par NatéoSanté est de contribuer à établir les conditions les plus sûres pour les collaborateurs, les clients… en phase avec les valeurs de la marque : l’engagement humain, l’éco-conception, la santé et l’innovation.

Purificateurs d'air professionnels pour purifier l'air intérieur de votre entreprise
NatéoSanté accompagne les entreprises pour un diagnostic de leur environnement professionnel

Comment le purificateur d’air EOLIS Air Manager filtre-t-il l’air et agit-il contre les aérosols pouvant transmettre les coronavirus ?

Comment le purificateur d'air Eolis Air Manager filtre-t-il l'air intérieur et agit-il contre les aérosols pouvant transmettre les coronavirus ? Il devient ainsi un dispositif complémentaire de sécurité sanitaire en période de pandémie Covid-19 !

Quelle position du Conseil Scientifique sur les purificateurs d’air ?

Le Conseil Scientifique, présidé par le Professeur Jean-François Delfraissy, a brièvement abordé la question de l’emploi des purificateurs d’air dans le cadre de la prévention et lutte contre l’épidémie Covid-19. Deux lignes figurent en page 27 de ses recommandations du 26 octobre 2020, ayant amené au deuxième confinement aménagé en France, période suivie du déconfinement et couvre-feu en vigueur dans l’Hexagone depuis le 15 décembre.

Au chapitre « des mesures complémentaires à discuter en lien avec la communauté éducative… », le Conseil Scientifique écrit au sujet des établissements scolaires que « l’aération des locaux doit être organisée de façon très systématique, tout en entamant une réflexion sur des mesures alternatives type purificateurs d’air comme le préconisent les Allemands ».

A l’instar des expérimentations menées par la Région Auvergne-Rhône-Alpes dans ses lycées dont NatéoSanté est partie prenante avec notamment l’installation début décembre de sept purificateurs d’air EOLIS Air Manager au lycée hôtelier de Thonon-les-Bains.

Ressources utiles sur la Covid-19 en milieu professionnel

  • Consulter le dossier complet de l’INRS « Covid-19 et prévention en entreprise » qui a lancé deux études :
    • La première est consacrée aux tests des dispositifs de purification d’air présents sur le marché (résultats attendus courant 2021)
    • La seconde, prévue sur trois ans, va pousser plus avant les travaux scientifiques autour de la qualité de filtration, disposition optimale des purificateurs dans une pièce…
  • Consulter la méthodologie des tests en laboratoire d’EOLIS Air Manager contre les coronavirus
  • En savoir plus sur les filtres et les normes en cours