25/07/2024
Le Japon en alerte rouge face au syndrome de choc toxique streptococcique
20 décembre 2021
Un protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprises reste applicable en France en raison des contraintes sanitaires Covid-19. Sa dernière version a été publiée le 30 décembre 2021 dans un contexte de 5e vague au variant Delta et risques encore accrus par le très contaminant variant Omicron. Les mesures d'hygiène et de distanciation physique sont toujours la norme. Le port du masque est à nouveau obligatoire dans les lieux clos. L’aération et ventilation demeurent la règle de base pour prévenir la propagation du virus.
Dans ce contexte de transmission toujours possible par aérosols, un purificateur d’air professionnel, doté de filtres HEPA, tel EOLIS Air Manager, permet de compléter le triptyque "aérer, ventiler, purifier". Il se révèle toujours un argument de rassurance sanitaire et un atout RH à l'égard des salariés. Dirigeants de TPE, PME, ETI ou grands groupes, maires, cadres de collectivités territoriales, DRH ou DGS… NatéoSanté est en mesure de vous accompagner à 360° pour vous garantir un air intérieur purifié.
Mise à jour 03/01/2021 - Précédente version 16/09/2021
NatéoSanté vous propose un tour d’horizon complet de la situation en répondant à six questions principales relatives aux motifs d'achat d'un purificateur d'air professionnel pour vos locaux d'entreprise ou d'activité, horizon 2022.
Un protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprises face à l’épidémie Covid-19 s’applique en France avec des évolutions régulières. La dernière publication date du 30 décembre 2021. Elle fait suite à plusieurs moutures depuis la sortie du premier confinement en mai 2020 et est régulièrement actualisée selon l'évolution de la situation sanitaire en France.
Les dispositions validées au cours de l'été 2020, s’appuyaient sur deux recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique. La première d’entre elles, en date du 23 juillet 2020. Diffusée le 14 août, la note « SARS-CoV-2 : actualisation des connaissances sur la transmission du virus par aérosols » reprenait la lettre ouverte du 4 juillet précédent adressée par 239 scientifiques, issus de 32 pays, à l’Organisation Mondiale de la Santé sur le même thème.
L’OMS avait d’ailleurs intégré en ligne une réponse dédiée dans sa série de questions fréquentes quant à la transmission possible du coronavirus par ces aérosols. Les scientifiques évoquaient aussi la notion de transmission aéroportée, qualification synonyme.
Le deuxième avis du HCSP, pris en compte par les autorités françaises, avait été délivré le 20 août 2020. Il avait trait aux « recommandations relatives au port de masques dans les lieux collectifs clos ».
Cette question d’une troisième voie de transmission Covid-19 par aérosols, aux côtés des fomites (par exemple, un objet contaminé… d’où l’importance de se laver les mains à intervalles réguliers et l’emploi du gel hydroalcoolique) et des gouttelettes (distanciation sociale et gestes barrières), anime les communautés de chercheurs avec des contributions et publications qui aboutissent à en faire désormais un mode admis de propagation critique du virus.
Dans un article publié le 02/09/2021, le quotidien Le Monde revient ainsi sur la « trop lente prise en compte des aérosols ». Si la hiérarchie des dangers n'est pas encore tranchée au sein de la communauté scientifique, faute d'études en nombre, la voie aéroportée (diffusion du virus par les flux d'air sur de longues distances c'est à dire au-delà de deux mètres) est l'objet de toutes les attentions. D'autant plus quand le variant Delta se révèle plus infectieux et dangereux.
en savoir plus sur la qualité de l'air intérieurLa version applicable début décembre 2021 s'articule autour des points suivants :
Le protocole précise que « conformément aux principes généraux de prévention en matière de protection de la santé et sécurité au travail, la poursuite de l’activité dans les entreprises et établissements doit conduire par ordre de priorité :
Le télétravail n'est pas obligatoire et la bonne organisation de celui-ci doit naître du dialogue social, mais il a été fortement recommandé par la Ministre Elisabeth Borne.
La question de la qualité de l'air est principalement abordée au travers de l'aération. Celle-ci « doit être assurée de préférence de façon naturelle : portes et/ou fenêtres ouvertes en permanence ou à défaut au moins 5 minutes toutes les heures » ou assumée via « un système de ventilation mécanique conforme à la réglementation, en état de bon fonctionnement et vérifié assurant un apport d’air neuf adéquat ».
La mesure du taux de CO2 dans un bureau, une salle de réunion… fait l'objet d'une nouvelle formulation. L'appréciation du dépassement ou non du seuil de 800 ppm est à considérer « à des endroits significatifs de la fréquentation et à des périodes de forte fréquentation, en particulier quand les préconisations d’aération naturelle ne peuvent être respectées ». Il s'agit en l'état d'une recommandation et non d'une obligation.
Les contraintes, induites par la situation sanitaire actuelle, ramènent à la notion prégnante de circulation potentielle du coronavirus à l’air libre ainsi qu’à celle de la purification et qualité de l’air intérieur.
En ce sens, le recours spécifique à un purificateur d’air HEPA professionnel ou médical, à l’instar du modèle Made In France EOLIS Air Manager, développé par NatéoSanté, et non l’achat d’un simple modèle grand public, est à envisager comme un dispositif de rassurance sanitaire et RH supplémentaire.
Un argument pour une entreprise, une collectivité, une association… quant à sa capacité à tout mettre en œuvre vis à vis de ses collaborateurs contre le risque potentiel de transmission aérienne des virus. Avec, de surcroît, une action additionnelle contre toutes les formes de particules polluantes, les pollens… jusqu’aux mauvaises odeurs.
en savoir plus sur la gammeL’efficacité des purificateurs d’air professionnels NatéoSanté résulte de la combinaison unique de technologies. Dans le détail, ils associent pour EOLIS Air Manager :
En situation de reprise économique, pour une entreprise, quelle que soit sa taille (des TPE aux grands groupes en passant par les PME et les ETI), les communes, les collectivités territoriales… s’équiper d’un ou de plusieurs purificateurs d’air professionnels est un investissement dans la durée pour :
Forte de son expérience et de son expertise, NatéoSanté vous accompagne dans :
La plus-value NatéoSanté : accompagner un dirigeant ou DRH, un chef de service du privé ou public, un DGS, un maire… dans l’étude et le déploiement d’un dispositif de retour au travail, dans une démarche de prévention des salariés et de protection de la direction face aux risques sociaux.
une question ?