Entreprises : pourquoi acheter un purificateur d’air professionnel ?

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Un protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprises reste applicable en France en raison des contraintes sanitaires Covid-19. Sa dernière version a été publiée le 30 décembre 2021 dans un contexte de 5e vague au variant Delta et risques encore accrus par le très contaminant variant Omicron. Les mesures d’hygiène et de distanciation physique sont toujours la norme. Le port du masque est à nouveau obligatoire dans les lieux clos. L’aération et ventilation demeurent la règle de base pour prévenir la propagation du virus.

Dans ce contexte de transmission toujours possible par aérosols, un purificateur d’air professionnel, doté de filtres HEPA, tel EOLIS Air Manager, permet de compléter le triptyque “aérer, ventiler, purifier”. Il se révèle toujours un argument de rassurance sanitaire et un atout RH à l’égard des salariés. Dirigeants de TPE, PME, ETI ou grands groupes, maires, cadres de collectivités territoriales, DRH ou DGS… NatéoSanté est en mesure de vous accompagner à 360° pour vous garantir un air intérieur purifié.

Mise à jour 03/01/2021 – Précédente version 16/09/2021

NatéoSanté vous propose un tour d’horizon complet de la situation en répondant à six questions principales relatives aux motifs d’achat d’un purificateur d’air professionnel pour vos locaux d’entreprise ou d’activité, horizon 2022.

En situation d'épidémie Covid 19 le port du masque est désormais obligatoire dans les entreprises à l'intérieur des bureaux fermés et partagés, des open spaces et de tous les espaces collectifs
La poursuite d’activité dans les open spaces implique le respect du protocole national Covid-19

Sur quelles recommandations scientifiques le protocole national Covid-19, applicable depuis le 8 décembre dans les entreprises françaises, se fonde-t-il ?

Un protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprises face à l’épidémie Covid-19 s’applique en France avec des évolutions régulières. La dernière publication date du 30 décembre 2021. Elle fait suite à plusieurs moutures depuis la sortie du premier confinement en mai 2020 et est régulièrement actualisée selon l’évolution de la situation sanitaire en France.

Les dispositions validées au cours de l’été 2020, s’appuyaient sur deux recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique. La première d’entre elles, en date du 23 juillet 2020. Diffusée le 14 août, la note « SARS-CoV-2 : actualisation des connaissances sur la transmission du virus par aérosols » reprenait la lettre ouverte du 4 juillet précédent adressée par 239 scientifiques, issus de 32 pays, à l’Organisation Mondiale de la Santé sur le même thème.

L’OMS avait d’ailleurs intégré en ligne une réponse dédiée dans sa série de questions fréquentes quant à la transmission possible du coronavirus par ces aérosols. Les scientifiques évoquaient aussi la notion de transmission aéroportée, qualification synonyme.

Le deuxième avis du HCSP, pris en compte par les autorités françaises, avait été délivré le 20 août 2020. Il avait trait aux « recommandations relatives au port de masques dans les lieux collectifs clos ».

Cette question d’une troisième voie de transmission Covid-19 par aérosols, aux côtés des fomites (par exemple, un objet contaminé… d’où l’importance de se laver les mains à intervalles réguliers et l’emploi du gel hydroalcoolique) et des gouttelettes (distanciation sociale et gestes barrières), anime les communautés de chercheurs avec des contributions et publications qui aboutissent à en faire désormais un mode admis de propagation critique du virus.

Risque de transmission du coronavirus ou SARS-CoV-2 par aérosols
Risk of SARS-CoV-2 transmission by aerosols, the rational use of masks, and protection
of healthcare workers from COVID-19
© photo creative commons

Dans un article publié le 02/09/2021, le quotidien Le Monde revient ainsi sur la « trop lente prise en compte des aérosols ». Si la hiérarchie des dangers n’est pas encore tranchée au sein de la communauté scientifique, faute d’études en nombre, la voie aéroportée (diffusion du virus par les flux d’air sur de longues distances c’est à dire au-delà de deux mètres) est l’objet de toutes les attentions. D’autant plus quand le variant Delta se révèle plus infectieux et dangereux.

Quelles sont les dispositions générales de ce protocole national applicables au sein des entreprises ?

La version applicable début décembre 2021 s’articule autour des points suivants :

  • Modalités de mise en œuvre des mesures de protection dans l’entreprise dans le cadre d’un dialogue social
  • Mesures de protection des salariés
  • Dispositifs de protection des salariés
  • Tests de dépistage
  • Vaccination
  • Pass sanitaire

Le protocole précise que « conformément aux principes généraux de prévention en matière de protection de la santé et sécurité au travail, la poursuite de l’activité dans les entreprises et établissements doit conduire par ordre de priorité :

  • A évaluer les risques d’exposition au virus
  • A mettre en œuvre des mesures de prévention visant à supprimer les risques à la source
  • A réduire au maximum les expositions qui ne peuvent être supprimées
  • A privilégier les mesures de protection collective
  • A mettre en place les mesures de protection des salariés répondant aux orientations du présent protocole. »

Le télétravail n’est pas obligatoire et la bonne organisation de celui-ci doit naître du dialogue social, mais il a été fortement recommandé par la Ministre Elisabeth Borne.

La question de la qualité de l’air est principalement abordée au travers de l’aération. Celle-ci « doit être assurée de préférence de façon naturelle : portes et/ou fenêtres ouvertes en permanence ou à défaut au moins 5 minutes toutes les heures » ou assumée via « un système de ventilation mécanique conforme à la réglementation, en état de bon fonctionnement et vérifié assurant un apport d’air neuf adéquat ».

La mesure du taux de CO2 dans un bureau, une salle de réunion… fait l’objet d’une nouvelle formulation. L’appréciation du dépassement ou non du seuil de 800 ppm est à considérer « à des endroits significatifs de la fréquentation et à des périodes de forte fréquentation, en particulier quand les préconisations d’aération naturelle ne peuvent être respectées ». Il s’agit en l’état d’une recommandation et non d’une obligation.

Quel est le rôle possible d’un purificateur d’air intérieur EOLIS Air Manager, en milieu professionnel, dans le contexte Covid-19 ?

Les contraintes, induites par la situation sanitaire actuelle, ramènent à la notion prégnante de circulation potentielle du coronavirus à l’air libre ainsi qu’à celle de la purification et qualité de l’air intérieur.

En ce sens, le recours spécifique à un purificateur d’air HEPA professionnel ou médical, à l’instar du modèle Made In France EOLIS Air Manager, développé par NatéoSanté, et non l’achat d’un simple modèle grand public, est à envisager comme un dispositif de rassurance sanitaire et RH supplémentaire.

Un argument pour une entreprise, une collectivité, une association… quant à sa capacité à tout mettre en œuvre vis à vis de ses collaborateurs contre le risque potentiel de transmission aérienne des virus. Avec, de surcroît, une action additionnelle contre toutes les formes de particules polluantes, les pollens… jusqu’aux mauvaises odeurs.

Comment EOLIS Air Manager réduit-il efficacement la propagation des virus dans l’air ?

L’efficacité des purificateurs d’air professionnels NatéoSanté résulte de la combinaison unique de technologies. Dans le détail, ils associent pour EOLIS Air Manager :

  • Un préfiltre virucide biocide certifié ISO 18184:2019 et NF G39-011
  • Un filtre HEPA médical certifié EN1822-4 avec une efficacité jusqu’à 99,6% sur un coronavirus de taille ~120-150 nm tel le Covid-19. Chaque filtre est fabriqué en France. Il est doté d’un certificat unique indiquant son rapport d’étanchéité. Il est vérifié manuellement et numéroté pour traçabilité par NatéoSanté.
    De plus, grâce à une fonctionnalité brevetée, le purificateur d’air mesure et affiche en temps réel l’usure effective du filtre pour garantir une filtration optimale
  • Des lampes UV-C germicides virucides OSRAM PURITEC® HNS®. Ces lampes sont utilisées dans les hôpitaux. Elles assurent une stabilité de performances durant l’intégralité de leur durée de vie
  • La technologie exclusive Controlled Active Oxygen, (sur EOLIS Air Manager 600S et 1200S) vient compléter la combinaison de filtration pour renforcer l’action virucide

Quels sont les bénéfices attendus pour l’entreprise et ses collaborateurs quant à l’investissement dans un ou des purificateurs d’air professionnels ?

En situation de reprise économique, pour une entreprise, quelle que soit sa taille (des TPE aux grands groupes en passant par les PME et les ETI), les communes, les collectivités territoriales… s’équiper d’un ou de plusieurs purificateurs d’air professionnels est un investissement dans la durée pour :

  • Réduire l’impact de la peur de transmission des virus au sein des espaces de travail afin de limiter l’absentéisme, moduler le télétravail qui peut conduire à l’isolement des salariés ou affecter la productivité, la créativité… favorisées par les échanges, le travail en groupes…
  • Réduire la crainte pour les collaborateurs de ramener éventuellement le virus à la maison…
  • Sur le plan RH, côté employeurs, la prise en compte de ces inquiétudes et le soin apporté à la rassurance et à prévenir les risques, par tous les moyens, pour réduire l’exposition des équipes via les bons investissements est une preuve de considération supplémentaire en ces temps où QVT et RSE nourrissent, à juste titre, la marque employeur
Purificateurs d'air professionnels pour entreprises
Le purificateur d’air professionnel EOLIS Air Manager : rassurance sanitaire et atout RH au sein des bureaux et espaces partagés

Comment NatéoSanté est-elle en mesure d’accompagner toute organisation professionnelle en vue de favoriser la continuité d’activité ?

Forte de son expérience et de son expertise, NatéoSanté vous accompagne dans :

  • L’élaboration d’un plan de continuité sur-mesure afin de sécuriser à la fois l’activité de l’entreprise et la sécurité des collaborateurs de celle-ci
  • La mise en place des bonnes pratiques pour rassurer l’ensemble des collaborateurs sur leurs conditions de retour au travail et la protection supplémentaire dont ils disposent grâce aux purificateurs d’air

La plus-value NatéoSanté : accompagner un dirigeant ou DRH, un chef de service du privé ou public, un DGS, un maire… dans l’étude et le déploiement d’un dispositif de retour au travail, dans une démarche de prévention des salariés et de protection de la direction face aux risques sociaux.

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